Du Lundi 30 novembre au 20 décembre 2020
ATTENTION Evénement terminé ! Lieu : Centre Wallonie-Bruxelles/ 75004 PARIS Horaires : 10h00-19h00 en semaine et 11h00-19h00 le week-end Tarif : Entrée libre dans le respect des normes sanitaires. Port du masque obligatoire.
* (3€/appel - quel que soit la durée ou votre opérateur)
* Ce numéro valable 3 minutes n'est pas le numéro du destinataire mais le numéro d'un service permettant la mise en relation avec celui-ci. Ce service est édité par le site Le Parisien. Pourquoi ce numéro ?
Huit plasticien.ne.s ont été invité.e.s - sur proposition curatoriale de Michel François et sur invitation du Centre Wallonie-Bruxelles | Paris - à produire des œuvres originales témoignant de leur vision du corps, physique et social, souvent fragile et instable. L'exposition agrège des bas-reliefs, des sculptures, installations, vidéos, photos et performances. Les œuvres témoignent chacune à leur façon d'une certaine incommodité du corps : non séducteur, fantomatique, aveugle, emberlificoté, trafiqué
Depuis la rue, Ria Paquée s'incruste dans la façade, puis dès l'entrée du Centre, Selçuk Mutlu accueille, telle une interface poétique, plastique et conceptuelle, les visiteurs.
Bas-reliefs et potiches en céramique représentant des personnages grotesques de Carlotta Bailly- Borg.
Bas-reliefs encore, de Gaillard & Claude, en mousse synthétique sanglée, et ayant accroché des objets divers.
Hauts-reliefs en bronze de Douglas Eynon, autoportraits bruts par des non-voyants.
Installation par Sarah Caillard où apparaissent furtivement des personnages fantomatiques.
Copie conforme d'un outil d'exploitation des corps ouvriers par Olivier Stévenart.
Dans la cour, Charlotte Vander Borght installe des photographies de camions de transport vides, qui suggèrent que des personnes migrantes ont pu y être transportées clandestinement.
Dans ce cadre, une journée rétrospective des films de l'artiste et cinéaste, Loïc Vanderstichelen, se tiendra.
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